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Emirdag : l’échevin Sait Kose organise une visite familiale de la Maison de Repos de la ville

L’échevin schaerbeekois Sait Kose a entrepris une visite de la maison de repos de la ville d’Emirdag.

En effet, dans un souci constant de partage avec le troisième âge, il a profité de l’espace de ses vacances pour nouer des liens toujours plus serrés avec les dirigeants de cette institution.

Après une discussion très constructive avec le directeur fraîchement désigné Mustafa Topkaya, il a pu visiter l’infrastructure de cette maison qu’il connait depuis quelques années déjà.

L’échevin Kose a visité une par une les 68 chambres du bâtiment dans le but de s’entretenir avec les pensionnaires.

Une multitude d’anecdotes ont été narrées par le directeur Topkaya concernant les membres de l’établissement. Ces historiettes ont parfois une consonance triste ou encore sont un tantinet rigolotes mais toujours est-il qu’il reste actuellement très difficile dans les mentalités turques de l’Anatolie profonde d’accepter de placer un parent dans une telle structure.

De manière générale, les discussions ont tourné autours des activités proposées aux seniors. Un concours de pétanque inter-villes est même proposé depuis deux ans. Cette activité sportive a l’avantage de pouvoir faire visiter aux pensionnaires différentes villes de la Turquie et de sortir du carcan habituel lié au confinement.

Par ailleurs, l’échevin Kose s’est très fort intéressé à cette animation.

La famille Kose, très connue à la Maison de repos d’Emirdag, a aussi profité du bon temps pour s’entretenir avec les membres dans le jardin. La mère de Sait Kose reconnaissait d’ailleurs quasi la totalité des séniors.

Enfin, l’échevin Kose a promis de revenir rendre visite aux pensionnés cet hiver toujours dans le but de combler le plus grand besoin de ces personnes : l’écoute !

Les expériences contées par les membres sont une véritable boîte de Pendore qui rappelle inexorablement les us et coutumes d’une autre Turquie, la Turquie de nos racines à ne jamais oublier !

Erkan Ozdemir / La Manchette